L’idée d’un Dieu Personnel, Créateur et Seigneur de l’univers, ainsi qu’on le désigne, qui gouverne cette Mâyâ, cette nature, n’est pas le point final de la pensée védântique ; elle n’en est que le début. L’idée se développe de plus en plus jusqu’à ce que le védântiste découvre que Celui qu’il croyait être en dehors de lui n’est autre que lui-même, est en réalité au-dedans de lui. Il est lui-même celui qui est libre, mais par suite des limitations, il croyait être enchaîné.
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Info: Dans "Jnâna-Yoga", page 70
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