à Marine
Je traversais la vie en savates. En seconde classe en attendant un petit frétillement. J'avais quitté la salle d'attente des grands espérances depuis longtemps. Et voilà que tu débarques et résous l'énigme de mon existence.
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Info: Rapporté sur Babelio par aleatoirel (pseudo), glané dans une rame du métro parisien, ligne 6, entre la Nation et l'Etoile
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