La fougue de l'amant n'est apaisée ni par la vue ni par le toucher d'aucun corps. Il ne désire pas tel ou tel corps, mais la splendeur de la majesté divine réfléchie dans les corps, voilà ce qui l'émerveille, l'attire, le stupéfie.
Auteur:
Info: De l'amour. Relevé in Sycomore, Sickamour De Pacôme Thiellement, p. 60
Commentaires: 1
Coli Masson
26.12.2019
des échos de Lacan me parviennent :)