O combien je désire voir sécher ces Printemps, châtier ces Petites jeunesses, rabattre ces Coups d’essai, tarir ces Fontaines, bref, abolir tous ces beaux titres assez suffisants pour dégoûter tout lecteur savant d’en lire davantage. […] Je supplie à Phoebus Apollon que la, France, après avoir été si longtemps stérile, grosse de lui, enfante bientôt un poète dont le luth bien résonnant fasse taire ces enrouées cornemuses, non autrement que les grenouilles quand on jette une pierre en leur marais.
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Info: Défense et illustration de la langue française
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