C’était ça le problème quand on était écrivain, le gros problème – le temps libre, trop de temps libre. On attend que la pression monte jusqu’à ce qu’on puisse écrire et pendant qu’on attend on devient fou, et pendant qu’on devient fou on boit et plus on boit plus on devient fou. Il n’y avait rien de glorieux dans la vie d’un écrivain ou dans la vie d’un buveur.
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Info: "450 kilos" dans "Je t'aime Albert" page 69
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