La même joie continuait de m’habiter : le bonheur de vivre. Le plus pur, le plus accablant bonheur de vivre. Car il n’était pas fondé sur le souvenir d’anciens bonheurs, ni sur la prémonition, encore moins sur la certitude des bonheurs à venir. Il n’était fondé sur rien.
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Info: L'Ecriture ou la vie
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