Il n’est rien de plus touchant que des vaches qui jouent. Tereza les regarde avec tendresse et se dit (c’est une idée qui lui revient irrésistiblement depuis deux ans) que l’humanité vit en parasite de la vache comme le ténia vit en parasite de l’homme : elle s’est collée à leurs pis comme une sangsue. L’homme est un parasite de la vache, c’est sans doute la définition qu’un non-homme pourrait donner de l’homme dans sa zoologie.
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Info: L'insoutenable légèreté de l'être
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