Et je sens de nouveau avec effroi quelle substance faible, misérable et lâche doit être ce que nous appelons avec emphase, l’âme, l’esprit, le sentiment, la douleur, puisque tout cela, même à son plus haut paroxysme, est incapable de briser complètement le corps qui souffre, la chair torturée, -puisque malgré tout, le sang continue de battre et que l’on survit à de telles heures, au lieu de mourir et de s’abattre, comme un arbre frappé par la foudre.
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Info: Vingt-quatre heures de la vie d'une femme
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