fatalité

La Voie ayant donné l’aspect, le ciel ayant donné la forme, un humain ne nuit pas à son corps par ses amours et ses haines. Tu épuises ta substance en dirigeant ton esprit vers l’extérieur. Tu t’adosses à un arbre et soupires, puis à un sterculier mort et t’endors. Le ciel t’a choisi une forme et tu l’utilises à piailler sur le dur et le blanc.

Auteur: Tchouang-Tseu

Info: Le rêve du papillon

[ nécessité ]

 

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