[…] le capitalisme libérait l’individu. Il a libéré l’homme de la discipline excessive du système corporatif ; il lui a permis de se tenir debout sur ses propres pieds et de tenter sa chance. Il est devenu le maître de son destin, qui était son risque et son profit. L’effort individuel pouvait l’amener au succès et à l’indépendance économique. L’argent devint le grand égalisateur de l’homme et se montra plus puissant que la naissance et la caste.
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Info: Dans "La peur de la liberté", page 65
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