Toujours elle avait cédé ainsi au premier excès de sa sensibilité : des larmes la suffoquaient, sa passion doublait ses tourments ; puis, elle rentrait dans sa raison, elle retrouvait un beau courage calme, une force de volonté douce et inexorable. Maintenant, les yeux limpides, le teint pâle, elle était sans un frisson, toute à sa besogne, résolue à s’écraser le coeur et à ne faire que son vouloir.
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Info: Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames
Commentaires: 1
Coli Masson
02.08.2019
Joli.