Père – je t’apporte – non point Moi-même –
Ce serait le faible fardeau –
Je t’apporte le Cœur en allé
Que je n’ai pu retenir –
Ce cœur que je chérissais dans le mien –
Devenu à la fin – trop lourd –
Mais – étrangement – plus lourd – depuis son départ –
Est-il trop grand pour toi ?
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Info: Cahier 12, 217, traduction Claire Malroux
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