Darlene pelotait ses seins nus, nous les montrant, les yeux pleins de rêve, les lèvres humides, entrouvertes. D’un seul coup elle s’est retournée et a balancé son énorme cul vers nous. Les perles tressautaient en étincelant, s’affolaient, scintillaient. Le projecteur bougeait et dansait comme le soleil. L’orchestre crépitait et tapait. Darlene s’est retournée. Elle a arraché les perles. J’ai regardé, tout le monde regardait. On voyait sa toison à travers le voile couleur chair. L’orchestre lui secouait le cul.
Et je ne bandais pas.
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