L'homme, le plus puissant des modes finis, est libre quand il entre en possession de sa puissance d'agir, c'est-à-dire quand son conatus est déterminé par des idées adéquates d'où découlent des affects actifs, lesquels s'expliquent par sa propre essence. Toujours la liberté est liée à l'essence et à ce qui en découle, non pas à la volonté et à ce qui la règle.
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Info: Spinoza, Philosophie Pratique
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