Comme si la prévalence impressionnante de la dépression ne trouvait pas sa source, en amont des neurotransmetteurs, dans les résistances du vieil homme qui, dans son arriération, s’obstine à souffrir de ses nouvelles conditions de vie, censées promouvoir le sujet qu’en vérité elles excluent dès que celui-ci contrarie le progrès.
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Info: Dans "Une folle solitude", page 217
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