Le monde des violons et des flûtes, des cors et des violoncelles, des fugues, des scherzos et des gavottes, obéissait à des lois si belles et si claires que toute musique semblait prier Dieu. Mon esprit n’écoutait pas: il priait. Mon esprit n’avait plus de limites. (…) Je pleurais de reconnaissance chaque fois que l’orchestre commençait à chanter.
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Info: Et la lumière fut, p. 99
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