Je parle de l'idée, essentiellement répandue aux États-Unis, que moins il y a d'Etat mieux c'est, ce qui profite évidemment aux grandes entreprises, mais qui n'en a pas moins des implications très radicales. L'idée d'un peuple qui exerce beaucoup de contrôle fédéraliste ou confédéraliste, l'idéal d'une démocratie de type populaire, une idée de la liberté individuelle qui ne se perde pas dans les dédales d'un anarcho-égoïsme à la Stirner, ou, précisément ici, dans le libertarianisme de droite.
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Info: Source : robertgraham.wordpress.com
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