Les coïncidences constituent le substrat de la synchronicité. Or elles n’existent qu’au sein d’un témoignage, d’une subjectivité, et l’on sait à quel point un témoignage est épistémiquement fragile. Au final, la synchronicité fait penser à une auberge espagnole. Chacun apporte le sens qu’il veut, les conclusions qui l’arrangent, et en retire toujours -miracle ! - exactement ce qu’il était venu chercher.
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Info: Quand est-ce qu'on biaise ?
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