Mon cher, ne fais plus de contes. Le conte est fourbu, rendu, couronné, a le sabot fendu, les flancs rentrés comme ceux de ton cheval ; si tu veux te rendre original, prends le conte, casse-lui les reins comme on brise la carcasse d’un poulet découpé, puis laisse-le là, cassé, brisé.
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