C’est bien la plus simple des hypothèses, que de supposer l’Autre un miroir vivant, de telle sorte que, quand je le regarde, c’est lui en moi qui se regarde, et qui se voit à ma place, à la place que j’occupe en lui. S’il n’est rien d’autre que son propre regard, c’est lui qui fonde le vrai de ce regard.
Auteur:
Info: Dans le "Séminaire, livre VIII - Le transfert"
Commentaires: 0