En voyant leurs visages noirs avec leurs lèvres épaisses et leurs dents grimaçantes, la laine sur leur tête, leurs genoux fléchis, leurs mains allongées, leurs grands ongles courbes et surtout la couleur livide de leurs paumes, je ne pouvais détacher mes yeux de leurs visages afin de leur dire de s’éloigner (...) Quel malheur pour la race blanche d’avoir, dans certains pays, lié si étroitement son existence à celle des Noirs! Que Dieu nous préserve d’un tel contact!
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Info: lettre à sa mère, en 1846, il raconte sa première rencontre avec des esclaves noirs à Philadelphie
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