[…] le meurtre du Père n’ouvre en rien les vannes de la jouissance ; au contraire, il représente la mise en place d’un interdit. Il ferme l’accès à la jouissance supposée du Père – jouissance à laquelle chacun doit renoncer pour entrer dans le monde de l’humain – et il organise le monde de la névrose.
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Info: Dans "Lacan et le christianisme", page 72
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