Le discours de la science a des conséquences irrespirables pour ce qu’on appelle l’humanité. L’analyse, c’est le poumon artificiel grâce à quoi on essaie d’assurer ce qu’il faut trouver de jouissance dans le parler pour que l’histoire continue.
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Info: Interview sur France Culture, juillet 1973, publiée par Le Coq-Héron n° 46-47, Paris, 1974, p. 3-8.
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