J'ai traité des centaines de patients. Parmi ceux dans la seconde moitié de leur vie - c'est-à-dire les plus de 35 ans - il n'y en a pas un qui n'avait pas ce problème, en dernier ressort, de trouver une vision religieuse de la vie. On peut dire sans risque de se tromper que chacun d'eux est tombé malade parce qu'il avait perdu ce que les religions vivantes de tous les temps ont donné à leurs disciples, et qu'aucun d'entre eux n'a vraiment été guéri s'il n'a pas retrouvé sa vision religieuse.
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Info: L'homme moderne à la recherche de son âme
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