Il n’est de pire danger que de discréditer l’adversaire.
Mépriser l’adversaire, c’est abandonner tout avantage.
Lorsque deux opposants s’affrontent, c’est celui qui ne dévalorise pas l’autre qui l’emporte.
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Info: Dans "Tao te King" traduit par Guy Massat et Arthur Rivas, poème 69, page 171
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