on s’aperçoit immédiatement que la lecture, dans le besoin de connaître, n’est pas vraiment un deuxième temps, une opération ajoutée. L’appétit de lecture est primitif ; il est l’essence même du besoin de connaître. C’est la recherche d’information qui est subordonnée.
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Info: Dans "Lectures du monde abusives, et lectures légitimes", Cahiers internationaux de symbolisme, n°13, 1967, p.70
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