Et tout à coup, elle aperçut les feux des charbonniers et sentit, pour la première fois, l'odeur douce-amère du bois noirci et des cendres, cette odeur qui devait l'accompagner tout au cours de sa vie de femme, cette odeur que nous, ses enfants, allions respirer dès notre premier souffle et qui deviendrait synonyme de notre existence même.
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Info: Les souffleurs de verre, 1ère partie. La reine d'Hongrie, Chapitre I
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