"Vous êtes un écrivain", m’a dit Michaux. D’accord ! Très bien ! Et après ? Si, chaque fois que je prends mon couteau, je me coupe le doigt, au lieu de couper une pomme... le couteau devient outil d’enfer et de damnation. Tout dépend de la manière dont je m’en sers.
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Info: Lettre 225, 14 août 1972, C’est à la nuit de briser la nuit. Lettres à Didier I, éd. du Cerf, 2010, p. 509
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