(...) pour la première fois depuis le début de notre randonnée, je suis assailli par un puissant mal du pays.
Le mal du pays. Il est inhérent à tout voyage, nous sommes épuisés, nous voulons rentrer; le mal du pays croît, se renforce, se ramifie dans toutes les parties du corps; les pieds veulent rentrer, les mains, le coeur, les pensées veulent rentrer....
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