L'excès d'humidité, la passivité de la femme la rendent toujours prête pour le coït; celui-ci la laisse fatiguée, mais non rassasiée. À partir du XVIe siècle s'ajoute une précision: le plaisir féminin est plus grand en quantité, mais plus réduit en qualité et en intensité. Et le plaisir, souvenir d'un plaisir éprouvé, explique pourquoi la femme fécondée, À la différence des animaux, recherche de nouveau les rapports sexuels.
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Info: Le plaisir au Moyen Age
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