L'anthropologie et la linguistique ont déjà intégré nos connaissances de l'oralité et ce qui la différencie de l'écriture. Pour l'heure, la sociologie en a moins tenu compte, et l'historiographie pas du tout : comment interpréter les historiens de l'Antiquité qui, comme Tite Live, écrivaient pour être lus à voix haute ? Quel rapport existe-t-il entre l'historiographie de La Renaissance et l'oralité embaumée dans la rhétorique ?
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Info: Oralité et écriture, la technologie de la parole, p 190
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