Aïcha, elle, se perdait entièrement. Elle levait les yeux sur un homme interdit. Elle se livrait à la fornication et y prenait plaisir. (...) Elle était folle de cet homme. Elle perdait tout dans cette étreinte. Si elle avait été tout à fait sincère, elle aurait compris qu'elle blasphémait : une part d'elle-même persistait à se raconter que cet amour était trop pur pour qu'Allah n'en soit pas témoin.
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Info: Vernon Subutex, tome 3
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