À la campagne, ne plus conduire, c’est un peu mourir. Au début, les gens se déplacent, ils viennent vous voir, et puis, peu à peu, comme ils ne vous voient plus nulle part, ils vous oublient. Alors le vide s’installe, que l’on partage avec une solitude à laquelle il va falloir s’habituer. Et la vie commence à finir.
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Info: Un clafoutis aux tomates cerises
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