Le sentiment de la propre identité [du patient bordeline] est si précaire, il repose de manière tellement complexe sur des défenses telles que le déni massif, le clivage, l’identification projective et autres que, s’il tente d’avoir une relation durale et de quelque intensité affective avec quelqu’un, il risque de perdre son identité subjective d’être humain.
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Info: Mon expérience des états-limites
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