L'équation était simple, Bashar El Assad, pour survivre, devait finement la mettre en oeuvre. Il fit en sorte de privilégier Daech aux résistant Syriens afin que le cancer islamiste se développe et simultanément il orienta tout le monde occidental sur l'idée que son régime représentait un moindre mal. Puis l'appui des russes vint faire basculer définitivement la balance de son côté. Ces dernier le mirent quelque peu sur le gril à Moscou, où il les rassura. Ils avaient affaire à un type bien éduqué et solide - n'avait-il pas tenu le pays au travers de tous ces problèmes. Et eux avaient des intérêts stratégiques réel.
Et puis, les agissements précédents des occidentaux en Lybie, Afganistan, et Irak, avec les résultats catastrophiques qu'on connait, justifiaient amplement la méfiance devant leur actions.
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Info: 28 nov. 2016
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