Vers la fin de sa vie, Mozart était obligé de faire du porte à porte pour survivre en proposant des leçons de piano. Aujourd’hui, il suffit d’allumer la télé pour voir jouer Richard Claydermann pour pas un rond. C’est ça aussi, le progrès.
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Info: L’Almanach, 1988, éd. Rivages, p. 68
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