A la célèbre formule gidienne "Familles, je vous hais!", je préfère personnellement la position inverse. Mon expérience professionnelle m'a appris que l'être humain a besoin d'une famille, différente évidemment selon les époques et les cultures, mais qu'il souffre toujours, plus ou moins silencieusement, lorsqu'elle se désagrège et qu'il est toujours en quête de ses origines lorsqu'elles sont mystérieuses. Pour autant, les liens familiaux n'en sont pas moins complexes, conflictuels, mouvants, en partie parce qu'ils sont sensibles aux interactions qui rapprochent ou opposent tel ou tel membre de la famille.
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Info: Mère et fils
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