Concluons donc, ma chère amie, que les plaisirs que nous goûtons, vous et moi, sont purs, sont innocents, puisqu'ils ne blessent ni Dieu ni les hommes, par le secret et la décence que nous mettons dans notre conduite.
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Info: Thérèse philosophe ou Mémoires pour servir à l'histoire du P. Dirrag et de Mlle Eradice
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