(...) la poétesse Ronnie Roberts trouvait les pénis si atroces et laids que, dans son poème "Portrait of a Former Penis Bigot" (Portrait d'une ancienne dévote du pénis), elle révéla qu'elle avait l'habitude de dessiner au feutre des visages souriants sur ceux de ses amants - de quoi modifier, peut-être, le regard que l'on posera désormais sur les smileys.
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Info: Le bidule de Dieu, p. 18
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