Gabriel García Márquez, à qui l'on demandait s'il puisait dans sa vie quotidienne de quoi alimenter ses récits fantastiques, répondait: "Quand je vois un homme dans un hamac, il devient dans mon roman une femme en train de passer la serpillière", expliquant bien le processus de déplacement présent dans tout acte créatif.
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Info: Niki de Saint Phalle
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