Quand un romancier ne finit jamais un roman, n'est-ce pas un aveu d'impuissance ? [...] Kafka était incapable de construire une intrigue, de trouver une chute, aussi, à chaque fois qu'il se heurtait à une impasse dans son labyrinthe, s'en sortait-il par une pirouette qui repoussait l'échéance, ou il posait son manuscrit sur une étagère et passait à un autre texte.
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Info: La vie rêvée d'Ernesto G.
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