[...] J'ai connu un autre ami [...] Il répondit que, toutes les fois qu'on a un texte écrit, on est prisonnier de ce texte, ainsi que l'était, selon lui, Poincaré, l'inadaptable. Il valait mieux à ses yeux s'être forgé des idées denses, susceptibles d'être variantes selon les occasions, sans cet esclavage ou cette inquiétude d'avoir à se reporter à des notes.
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Info: Le travail intellectuel
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