Etre quelqu'un, c'est bon pour les soirées mondaines où chacun se raconte, c'est bon pour les cabinets de psychologues. Mais être quelqu'un n'est-ce pas encore une obligation sociale qui enchaîne, une fiction bête pesant sur nos épaules ?
La liberté en marchant, c'est de n'être personne, parce que le corps qui marche n'a pas d'histoire, juste un courant de vie immémoriale.
Auteur:
Info: Marcher, une philosophie
Commentaires: 0