croyances

Un mythe n'était qu'un ramassis de niaiseries, de fadaises, de contes de fées, semblables aux innombrables racontars qui circulaient parmi les extracteurs et les mineurs. Le mythe égarait, fourvoyait, mettait en scène des esprits, des chimères, des créatures grotesques, des sorcières sur leurs balais, des nains, des dieux porteurs de foudre, irascibles, intolérants, crétins jusqu'à la moelle. Le mythe était l'obscurantisme incarné, l'inutilité même, vecteur d'autant d'inanité que la poésie ou encore la littérature. Il menait à une impossibilité d'évolution, au statu quo, à la régression de la rationalité.

Auteur: Suhner Laurence

Info: QuanTika, Tome 2 : L'Ouvreur des Chemins

[ légendes ] [ pouvoir ] [ conservation ]

 

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