J'étais content de moi et fier de mes élèves. Je me disais : Je sème dans l'esprit de ces jeunes gens une telle haine de la guerre que le moment venu ils se lèveront sans crainte et sans honte pour proclamer la vérité. Mais à peu près à ce moment-là, quelqu'un a commencé à constituer une compagnie de la garde nationale dans notre ville et mes disciples, soucieux de protéger leur pays contre les horreurs que je leur avais décrites, ont déserté ma société pour s'engager comme un seul homme.
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Info: Compagnie K
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