Une fois arrivé à Pyonggyang, l'anti-capitale nord-coréenne, je monte sur un taxi !
Oui...faute de moyens, les chauffeurs n'ont pas de voiture, donc on est obligé de leur monter sur le dos. Comme j'aime les véhicules de collection, j'enfourche une gentille p'tite vieille de 87 ans, tout à fait sympathique, mais à peine arrivés au coin de la rue, paf, on crève ! Enfin, elle surtout.
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Info: Voyages en absurdie
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