Ce qui m'a le plus étonné (absurdement, bien sûr) à Paris, c'est de n'avoir aperçu aucun carrosse avec un malade à l'intérieur. J'ai découvert un jour au coin d'une rue un invalide dans un chariot mécanique et j'ai voulu lui foncer dedans, l'embrasser et le serrer dans mes bras comme si ç'avait été un frère. Mais tu ne sais que trop bien que, dans la vie, précisément les gestes les plus sensés sont interdits.
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Info: Coeurs cicatrisés
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