J'ai toujours été sensible aux voix, à ce membre de plus qui nous pousse lorsque l'Autre se fait soudain trop éloigné. Et bien plus que les écouter, j'aime les regarder. Regarder la façon dont elles découpent le silence, la manière qu'elles ont de souligner le corps, trait fin ou appuyé. Il y a tant d'eaux où plonger en dessous de ces passerelles jetées...
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Info: Les portes de Doregon
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