La majorité des dirigeants de la génération précédant la mienne, imbus de la supériorité de l'homme blanc, considéraient les population humaines sous cette forme hiérarchique simplifiée, de haut en bas : l'homme blanc, l'asiatique, le nègre, le singe. Comptabilité dérisoire. L'homme blanc, triste apothicaire de la vie, juste capable de se battre à mort pour imposer ses croyances et les conserver. Qu'aura-t'il amené au finish par cette domination ? Surpopulation, éloignement de la nature, pollution, irrespect des autres croyances, camps de concentrations, bombe atomique.... La grande classe.
Pire, les populations, affolées par les images clinquantes du consumérisme américain, tentent encore de poursuivre dans cette direction.
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Info: 30 avril 2012
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