Ce que j'aime, chez Céline, c'est qu'il ne se refuse pas à sa nature d'animal pulsionnel et agressif. Une véhémence très travaillée mais qui conserve l'énergie brute de la survie. On ne sent jamais chez lui, au contraire de Proust, le douillet cocon bourgeois.
Auteur:
Info: 13 juillet 2012
Commentaires: 0